Envie de partager avec vous quelques enseignes
que j'avais photographiées lors d'une ballade à Honfleur
dans le Calvados.
Je suis toujours sous le charme qu'elles procurent ...
Bonjour !
Une passion culturelle actuelle universelle : "le bonheur de lire - écrire - publier, photographier et chercher des photos anciennes surtout pour l'inspiration à l'acte d'écrire les souvenirs en leurs côtés pacifiques surtout.
Voyez-vous, j'avais beau les rechercher mais personne ne me répond. Soyez l'une des premières à chercher et trouver.
Magnifiques dessins autour des livres by Luc Turlan
Coup de coeur en découvrant ces illustrations " autour des livres " réalisées avec talent par LUC TURLAN.
J'ai découvert son site au hasard et c'est un vrai régal !
N'hésitez pas à lui rendre une petite visite !
Affiche réalisée dans le cadre du Salon du livre de BELFORT
Re-bonjour !
Ah les livres ! Est-ce- des morceaux de papiers écrits collés pour faire de simples reliures arrangées sur les étalages des librairies (libres et rient) ou alors des esprits mis de-dans après d'innombrables années de réfléxions, de travuaux intélléctuels acharnés pendant des nuits et des nuits entières en consultant d'autres volumes dont les dictionnaires Larousse, le petit Robert et surtout le Littré ?
C'est beau et c'est hautement passionnant de mener une vie de rat de bibliothèque.
Félicitation au concépteur de ce sit et à vous même qui fouinez partout où vos mains et vos beaux yeux passent et repassent !
Aidez-moi à vous aider encore par la simple passion culturelle de retrouver mes propres photos, celles des scènes de vie d'autres fois à mon village d'El-Maïn dont nos fontaines, nos cafés maures....
*** Proverbes sur le " sourire " ***
Le sourire que tu envoies revient vers toi.
- Proverbe Hindou -
Sourire trois fois tous les jours rend inutile tout médicament.
- Proverbe Chinois -
Trop de sourires , signe de peu de cervelle.
- Proverbe Espagnol -
La clarté des dents d'un homme dans un sourire merveilleux n'entraîne pas forcément la bonté de son cœur.
- Proverbe Africain -
Chaque coup de colère est un coup de vieux, chaque sourire
est un coup de jeune.
- Proverbe Chinois -
Salue !
La lune est une indiscréte.
Regardez comment qu'elle est faite ?
Pas un cheveu sur la tête.
Le soleil à la levée du jour chaque matin nous sourit et nous envoie ses rayons dans un ciel d'azur et de lumière aujourd'hui, demain comme hier.
Avant l'école créature humaine, il y avait l'école de la vie exprimée par la nature dont le mot culture avait été volé à l'agriculture et seule l'industrie vient des sciences et des téchniques qui s'étaient développées par la suite.
Je vous propose de lire les pages de : Ecrire & Editer, une revue du CALCRE Vitry-sur-Seine 94404 et vous y trouvezrez des trésors de-dans sur toutes les questions qui tournent autour de l'édition et du livre. C'est aussi trés passionnant.
Risquer...
Rire, c'est risquer d'avoir l'air idiot.
Pleurer, c'est risquer d'avoir l'air émotif.
Aller vers l'autre, c'est risquer de s'impliquer.
Exprimer ses sentiments, c'est risquer d'exposer
le fond de soi-même.
Faire part de ses idées et de ses rêves à la foule,
c'est risquer de les perdre.
Aimer, c'est risquer de ne pas être aimé en retour.
Vivre, c'est risquer de mourir.
Essayer c'est risquer d'échouer.
Mais il faut prendre des risques parce que le plus grand danger,
dans la vie, c'est de n'en prendre aucun.
Les gens qui risquent rien ne font rien,
n'ont rien, ne sont rien.
Peut-être évitent-ils la souffrance et la peine,
mais ils ne peuvent ni apprendre, ni sentir,
ni changer, ni grandir, ni vivre.
Ce sont des esclaves enchaînés par leurs attitudes.
Ils ont perdu leur liberté.
Seul celui qui risque est libre.
On ne peut pas toujours changer ce que l'on affronte,
Mais on ne peut JAMAIS changer ce que l'on n'affronte pas.
( Texte trouvé sur le net )
Bonjour !
Avoir la notion du risque consiste à l'identifier, l'étudier, le diviser, le gérer intélligemment pour pouvoir le prendre...La fin justifie les moyens dit le proverbe.
Il y a actuellement des dispositions dans certains pays à lancer volontairement et spontanément les forêts et les cultures. Faudra-t-il s'impliquer dans l'allumage des feux par des allumettes, de l'essence et la mise de l'huile sur les feux ? Tenter d' essayer un tant soit peu d'amener l'extincteur et l'eau pour les éteindre en prenant le RISQUE de la contrariation politique ou si non, dénoncer de tels actes criminels par exemple ?
Feu Houari BOUMEDIENE que Dieu agrée son âme dans l'un de ses discours de 1970 disait je le cite :
"Celui qui ne veut pas escalader les rochers, vivra eternellement dans les fossés et celui qui craind les chuttes, ne sera jamais cavalier..." Mais ce n'est pas donné à Monsieur tout le monde d'avoir du courage sur le plan pratique n'ayant rien à voir avec la théorie.
Bonjour Fabienne et Denis !
"Ne dit-on pas l'habitude est une seconde nature ?" Il ne faut pas habituer et puis suspendre. Dieu merci que rien de grave ne vous est arrivé et que ce n'est qu'un problème passager de PC !
Ces correspondances de René Char échangées avec Albert Camus reflétent à peu près le vide que nous provoque votre absence de contact.
N'est-ce-pas vous Fabienne qui avait écrit un commentaire sur le blog de Belcourt39.skyrock.fr ? Si oui, avez-vous habité à Belcourt et à quelle date à peu près ?
Pouvez-vous aussi nous parler un peu de la chasse, du gibier, des chiens, des gibecières, des cartouchières styles Manufrance - Saint-Etienne d'anton. Avez-vous des photos à nous faire partager ? Pouvez-vous rechercher et retrouver autour de vous de quelconques colléctionneurs de photos sur les anciens cafés maures de villages de petite kabylie surtout période pendant laquelle les clients s'assoient sur des nattes, les boissons préparées et servies de façon traditionnelle à l'aide des anciennes cafetières à longues manches ?
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| "Quand Patrick s'appelait Poivre" Beitz Roger La Crau | |
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Je n'ai jamais aimé l'école. Je m'y ennuyais. Ou j'avais peur. Peur de ne pas savoir répondre. Cependant il y avait deux moments que j'aimais : la lecture et la poésie. La lecture parce que je savais bien lire et la poésie parce que cela me touchait. Deux poèmes rencontrés à l'école sont restés dans mon coeur. "Le cercle de famille" de Victor Hugo et "Pour faire le portrait d'un oiseau" de Jacques Prévert. Hugo et Prévert deux poètes que j'aime énormément encore aujourd'hui. Quant au poème "Pour faire le portrait...", il porte une émotion particulière depuis peu, je l'aime encore plus.
Il y a un endroit que je voulais voir depuis un moment. La maison de Jacques Prévert en Normandie. Alors en rentrant de Bretagne, nous avons fait le détour. Lorsqu'on arrive à Omonville-la-petite, la route se fait sinueuse, petite. La vue est très belle. La mer, tout autour, parce que là-bas, c'est le bout de la terre. Après il n'y a plus rien.
On se gare près de l'église. Le cimetière est là. Et on la voit tout de suite. La tombe du poète. Parce qu'elle est différente. Belle. Celle de sa femme, de sa fille. Et derrière, celle de son ami Alexandre Trauner. Amis et proches jusque dans la mort.
Pour aller au Val où se trouve la maison, il faut marcher. Cela monte un peu. Mais que c'est joli. Les près, les maisons de pierres. Les vaches. Les fleurs. Et les jolis panneaux nous indiquant le chemin...
Et puis on y est. La maison. Toute en fleurs. Belle. Accueillante.
Un vrai nid de verdure. Un ruisseau traverse le jardin. Le bruit de l'eau est apaisant. Un lieu enchanteur...
A l'intérieur, le rez-de-chaussée sert de lieu d'exposition. En ce moment, dans le salon, les oeuvres d'André François, avec qui Jacques Prévert a écrit Les iles Balabar. Et puis une salle TV où l'on peut voir un film sur le poète. Vraiment intéressant et touchant. Au mur de cette salle, quelques oeuvres de Jacqueline Duhême, amie et illustratrice. Je me suis d'ailleurs offert cette affiche...
Le ruisseau
A l'étage, l'atelier...
...une pièce immense, haute de plafond, claire, avec une cheminée. Il vivait là la plupart du temps avec son épouse. Je ne suis pas étonnée. C'est une pièce très agréable. Il travaillait sur une longue table. Il y écrivait, faisait ses collages. Dessus plusieurs objets. Quelques chemises dans lesquelles il triait son courrier. Une drôle où il est écrit "Impôts - emmerdements" ! Ses lunettes, sa gomme, quelques livres... Impression qu'il est encore là. Sur la cheminée, un portrait signé Picasso. Des photos. Il ne manque que l'odeur de cigarette...D'autres pièces, deux chambres, devenues pièces d'exposition aussi. Photos, textes, livres.
Les lieux où l'on habite sont un peu de nous. Cette maison, c'est un peu de Jacques Prévert. Alors c'est émouvant.
Pour repartir, on peut prendre un autre chemin. Plus vert encore. Celui qui borde le ruisseau...
...un vrai bonheur cette balade.
Je ne saurais que vous conseiller d'y aller. Faites le détour. L'endroit est charmant. C'est calme. Reposant. Je comprends qu'il soit venu finir sa vie là-bas. Et puis il y a la mer, tout près.
Bonjour alditas. Toujours de bien jolis mots que tu m'écris là ... Cela me fait chaud au coeur. merci pour ta gentillesse et ta fidélité!
Bonsoir Fabienne !
A mon tour de vous manifester ma profonde gratitude pour ce délicieux partage cultuel à version virtuelle actuelle par la grâce du don du ciel !
Qu'est-ce-que ça va veut dire construire l'amitié pierre après pierre et que lorsqu'il y a amabilité, on ne compte pas ? A mon humble avis c'est que là, je constate une seule et même longueur d'onde....Tout se construit sur cette plate forme là : le bonheur de lire, d'écrire, de publier, de partager pour une inspiration mutuelle...à laquelle on reste fidéles tant que Dieu nous prête vie et qu'on est pas tombé malade. Portez-vous bien !
Bonjour !
Je retiens de la librivore : " La mémoire et la reconnaissance sont deux impératifs pour tisser une identité. "
Il arrive que les parents biologiques créent des problémes à leurs enfants. Il se passe aussi dans certains autres cas que c'est plus tôt l'un des deux parents irresponsable ou incapable juridique qui en cause des ennuis aux enfants....Dans d'autres cas, ce sont les enfants par leurs comportements aventuriers dans leurs relations avec les autres qu'ils ne connaissent pas trop ou peu sans prendre soin des conseils reçus de leurs familles ou carrément outrepassent la demande d'avis ou de consultation de la céllule familiale sur les façons de faire en ce monde instable et difficile.....Pourquoi les mariages doivent-ils être validés par les Curés ou les Maîtres de mosquées côtés divins et aux mairies côtés administratifs et Etat-Civil si ce n'est par le souci de les légitimer poussant ainsi la pensée aux enfants qui vont naître après pour motifs d'héritages et d'attribution d'une identité génétique ? Pourquoi dit-on repaires identitaires mais pas reméres identitaires ? C'est douloureux la mort des parents, l'un des deux seulement tout autant que les séparations de corps ou les divorces en l'absence de céllules psychologiques de prises en charge des enfants mineurs surtout. Qui commande dans le foyer si ce n'est celle ou celui qui subvient aux besoins de la famille ? Les enfants majeurs doivent-ils être solidaires de leurs parents, leurs fréres et soeurs les uns les autres ou non ? Si non, comment peut-on se dire que l'on est de telle ou de telle famille ?
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Bonjour !
Au jeu de cache-cache alors que nous n'étions qu'éléves du primaire des années 1960 en pleine guérre et l'ensemble de ses misères mais aussi des moments de répits, à la place publique d'EL-MAÏN centre redevenue notre cour de récréation, nous disions :
Vingt et un, cachez-vous bien !
Vingt deux, cachez-vous mieux !
Vingt trois, voilà le chat !
On nous avait aussi distribué des buvards frappés d'une image d'un chat identique à celui-ci et d'une phrase disant ce-ci :
"Nous avons besoin de vous, traitez-nous bien !
Et pour cela, nous avons besoin d'une nourriture saine,
D'une eau fraîche et d'un endroit chaud pour dormir."
Avez-vous eu l'occasion de lire sur le livre "quatre pas dans les champs" éditions Nathan 1960 toujours, "Le mariage de Murinette et de Gros Raton" ocassion par laquelle, ils guéttent Monsieur le printemps ? "
Les anciens vieux sages des villages d'El-Maïn disaient que c'était du hatchoum du lion que descendait l'origine du chat.
Un jour disait-on dans les contes qu'un vieux chat revenu d'un pélérinage, décidait de faire une trêve avec les rats qui entendant la belle nouvelle, s'étaient réunis pour faire délégation de lui rendre une visite de courtoisie que devrait présidait un vieux sage parmi les leurs. Le chat assis sur une natte, s'était installé au grenier. La délégation de rats devrait monter par les escaliers en vieux bois du bas de l'étable rez-de-chaussée de ce même grenier....Montant à pas pesant les escaliers et le président rat décide d'une petite réunion préventive pour s'adresser aux membres présents....Voilà, restez ici et moi j'irai voir la situation de loin....Si vraiment des signes de paix se déssinent sur le visage du chat, je vous donnerai le signal de me rejoindre. Si non ......D'accord ! D'accord ! Gros Raton s'introduit l'oeil par une toute petire ouverture, déchirure de la vieille porte ou du plancher et regarde intélligemment le chat pélerin....Il tremble de frayeur et revient vite rejoindre les camarades qu'il préside et leur dit : je l'ai beaucoup regardé et observé....Oui, sa tunique est celle d'un pélerin....Mais ses moustaches en me voyant de loin, commencent à le tromper et à lui donner l'envie de m'attraper pour me dévorer les voyant trembler en même temps que ses lèvres ! " Alors, quittons vite les lieux leur dit-il !